Les cohabitations gagnent en importance. Mais Abbeyfield se distingue - le seul en Flandre ( !) - en ciblant le public toujours plus nombreux des plus de 55 ans actifs qui réfléchissent à l'avenir.

Une génération de plus de 55 ans qui dit veut garder le gouvernail le plus longtemps possible, tout en ne voulant plus vivre seule, et qui ne se retrouve pas dans l’éventail des
solutions conventionnelles pour les seniors.  Ils veulent vivre dans un lieu de vie épanouissant, garder des échanges au quotidien, être engagé dans leur environnement. Leur choix est très conscient : ils veulent créer leur propre environnement et anticiper ainsi leur vieux jours. Avec de nouvelles opportunités pour une vie sociale épanouissant. Et ce, avec des personnes partageant les mêmes idées.

Le souhait de beaucoup est de continuer à vivre chez soi aussi longtemps que possible, avec diverses formes de soins et d'assistance et, si nécessaire, après avoir aménagé le domicile. De l’autre côté du spectre se trouve le pôle opposé : la "maison de retraite". Heureusement entre ces deux pôles, de nombreuses autres formes d’habitation émergent.
 
La multiplication de solutions permettent t à un moment opportun de "penser plus tôt à plus tard".
 
Ceci n’est pas une réflexion facile. De nombreuses questions individuelles se posent : Comment est-ce que je veux vivre avec mes co-habitants et mes voisins ? Qu'en est-il de ma vie privée et de ma connectivité ? La propriété ou la gestion collective me convient-elle ? Qu'est-ce qui est abordable pour moi ?
La réponse devrait favoriser le bien-être. À Abbeyfield, notre concept permet " vivre plus longtemps et en meilleure santé ".
 
Selon une étude de la Fondation Roi Baudouin, les conditions principales pour atteindre ce bien-être sont les suivantes :

 Ce sont également les piliers sur lesquels repose notre principe de cohabitation à Abbeyfield.

Une étude réalisée en 2022 par la Région flamande montre que 1,7 million de Flamands appartiennent à la tranche d'âge des 50-70 ans. La même étude montre que 3 % de ces Flamands sont ouverts à une certaine forme de vie en communauté. Cela représente environ 53 000 Flamands.

Supposons que 2,5 % de cette population choisisse Abbeyfield, soit environ 2 680 personnes. Il y aurait alors de la place pour 100 maisons Abbeyfield en Flandre.

Alors que les personnes âgées avaient l'habitude de rester chez elles pour y vieillir, on constate une évolution vers des approches plus dynamiques du vieillissement, par exemple en déménageant vers d'autres lieux plus adaptés. Cette évolution met en évidence une plus grande flexibilité et une plus grande capacité d'adaptation par rapport à son logement des personne montant en age.

Parallèlement à cette évolution du paysage résidentiel - où l'on parle de "Aging in Place" (vieillir sur place) pour "Moving in Time" (déménager dans le temps) - une autre évolution bien connue est en jeu : le vieillissement de notre population.

En 2010, 17 % des Belges avaient plus de 65 ans. En 2025 et 2050, cette part atteindra respectivement 21 % et 26 %. Le pourcentage des plus de 85 ans devrait augmenter encore plus fortement : de plus de 2 % en 2010, il passera à près de 3 % en 2025 et à près de 6 % en 2050. Il s'agit d'une multiplication par trois. (Source : Fondation Roi Baudouin).

La proportion de notre population susceptible de devenir résidente d'une maison Abbeyfield ne fera qu'augmenter au cours de la prochaine décennie.

La proportion de notre population susceptible de devenir résidente d'une maison Abbeyfield ne fera qu'augmenter au cours de la prochaine décennie.

Les environnements résidentiels (de soins) pour le 55 plus n’évoluent pas de manière isolée et doivent tenir compte des tendances et évolutions de la société en général.. Toute nouvelle forme d’habitation se doit de prendre en considération les attentes et exigences suivantes 

Les données ci-dessus proviennent d'une étude de la Fondation Roi Baudouin et s'inscrivent dans la stratégie d'Abbeyfield qui s'appuie sur les ODD* suivants :

 

Compte tenu des chiffres démographiques susmentionnés, des valeurs fondamentales et des souhaits de notre population âgée, ainsi que des tendances sociétales, une étude de la Fondation Roi Baudouin indique que les environnements de vie des personnes de plus de 55 ans devraient répondre aux caractéristiques de base suivantes :

Liberté de choix
Les environnements de vie que les gens préfèrent dépendent du degré de besoin de soins et de son évolution. Ceci nécessite une palette d’alternatives leur offrant un choix correpondant à leur souhaits. Et pour que ce choix soit possible les alternatives se doivent être financièrement abordable.

Intégré dans un environnement de vie et orienté vers les relations
L’habitat n’est pas une île, mais se situe dans un quartier.  Cet environnement comprend des habitats diversun mix de générations : familles avec enfants, personnes seules, jeunes seniors, seniors plus âgés nécessitant ou non des soins (intensifs), etc. Ainsi, comme dans de nombreux quartiers et districts, la solidarité se développe, par lequel  les habitants s'entraident souvent de façon informel (voisiinage),. De la même façon des liens se tissent avec d’autres organisations comme les écoles et des initatives socioculturelles.Dans cete même vision le développement de réseaux de soins à dimension humaine de proximité méritent une attention politique prioritaire. L’intégration dans son environnement de vie combat l'isolement émotionnel et social est combattu. Ceci est une des priorités Abbeyfield !


Souple et flexible
Un cadre de vie adapté se focalise sur le bien-être de ses habitants. Cela suppose une approche dans laquelle le résident, avec ses désirs et ses besoins en matière de soins, ses talents et ses compétences, ainsi que son estime de soi, occupent une place centrale. Bien entendu, ce bien-être s'inscrit dans un cadre de règles. Mais il est important que les procédures, les schémas d’organisation rigides et poursuite de l'efficacité ne prennent pas le dessus sur la vie. L'organisation est là pour les habitants, et non l'inverse. La créativité, le sens de l'improvisation et de l'adaptation, l'ouverture au changement et à l'inattendu sont essentiels. Ce n'est pas un hasard si ces qualités sont souvent citées comme une tendance sociétale majeure.


Petite échelle et convivialité
Le concept de l'habitat du futur est à petite échelle. Même si ces petites unités de vie font partie d'une structure et d'un environnement plus vastes et à plus grande échelle, l'expérience de la convivialité et de l'humain reste primordiale.

Sécurité et indépendance
Lorsque les gens ne se sentent pas en sécurité, leur qualité de vie est automatiquement menacée (...). Le sentiment de sécurité
va de pair, dans un environnement résidentiel , avec un degré important d'indépendance, d'autonomie, de mobilité et d'autodétermination. Cela signifie que les habitants sont exposés à certains risques chacun, mais que ces risques sont le plus possible réduites par une attention particulière aux vulnérabilités spécifiques.


Ce sont également les conditions de base de la vie à Abbeyfield.